Nos actualités régionales

Une lettre qui explique la colère à Marseille

La politique du logement à Marseille concerne bien entendu nombre de personnes étrangères aux statuts administratifs divers. A ce titre, nous vous donnons connaissance de cette lettre courageuse, explicite et en même temps affolante sur la situation.

Lettre de Pierre-Alain Mannoni qui s'explique sur le procès contre M. Estrosi

Pierre-Alain Mannoni a porté plainte pour diffamation contre M. Estrosi, député des Alpes-Maritimes et maire de Nice qui l’accuse de « favoriser le travail des passeurs » en venant en aide aux exilés. Le procès se tiendra à Nice ce jeudi 15 novembre. Pierre-Alain a fait une lettre pour s’expliquer.

Retour sur la mobilisation des cours de français hors les murs à Marseille, le jeudi 18 octobre 2018 !

En haut de la Canebière, à côté du kiosque, formateurs, apprenants,sympathisants, nous nous sommes retrouvés sous l'impulsion du Collectif FLE et avec le réseau Langue du réseau Hospitalité pour faire connaitre et porter nos revendications : des cours de français en nombre suffisant, financés par l’État et permettant l'accueil inconditionnel des apprenants.

Cette journée du 18 octobre fait suite à l’appel à une mobilisation nationale lancé par le collectif inter associatif Le français   pour tous. Ce collectif a rédigé un manifeste du même nom en 2017, on peut toujours le signer en ligne ici, et plus récemment un plaidoyer qui est un outil pour interpeler les députés, les sénateurs et les élus locaux en parallèle de cette mobilisation nationale (consultable ici).

FRONTIÈRE FRANCO - ITALIENNE / À Briançon, les violations systématique s des droits des  personnes exilées doivent cesser

Dans un communiqué de presse commun, La Cimade,  Amnesty, Anafé, MDM, MSF et le Secours Catholique  dénoncent une nouvelle fois les violations systématiques des droits des personnes exilées à la frontière italienne , à Briançon cette fois.

 

Sept militant·e·s risquent 10 ans de prison pour avoir aidé des personnes migrantes

Bastien, Benoit, Eléonora, Juan, Lisa, Mathieu et Théo vont être jugé·e·s le 8 novembre 2018 au tribunal de Gap (Hautes-Alpes). Ils et elles sont poursuivi·e·s pour « aide à l’entrée d’étrangers en situation irrégulière sur le territoire national, en bande organisée », et les peines prévues vont jusqu’à 10 ans de prison et 750 000 euros d’amende.

Leur seul tort : avoir participé en avril 2018 à une marche solidaire pour dénoncer les agissements du groupuscule d’extrême-droite Génération identitaire qui bloquait la frontière au col de l’Echelle (près de Briançon) pour s’en prendre aux personnes exilées.

RESF en danger : l'ASE s'attaque aux bénévoles

L'humanité et la solidarité ne sont pas des délits !
Convoqué par la Police Nationale sur de fausses allégations de l'Aide Sociale à l'Enfance, Chantal, militante bénévole de RESF84 a aidé à scolariser, au nom de RESF84, un jeune que l'ASE n'avait pas scolarisé en agissant comme un citoyen qui protège l'intérêt supérieur d'un l'enfant.